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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 4.djvu/241

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PALMIRA.

ment son mari, qu’il la fit renfermer. Elle ne retrouva sa liberté que par le moyen de son veuvage, mais sa fortune anéantie, ses charmes effacés, le souvenir de sa conduite, l’ont réduite à une médiocrité, un abandon insupportables pour une femme de ce caractère.

Paula, qui avait inspiré un intérêt si vif à Palmira, devint par cette raison chère à sir Alvimar et à sa femme. S’étant présentée à eux lors de leur passage à Florence, ils l’emmenèrent en Angleterre. La duchesse se l’est attachée particulièrement, la traite avec beaucoup de bonté, et lui assure un sort agréable.

L’honnête Akinson est trop vieux maintenant pour se mêler des affaires