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Page:Roland - Palmira, 1801, tome 4.djvu/67

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PALMIRA.

personne que j’avais placée près d’elle, et dont l’unique occupation était de faire quelque lecture et de la musique, que la duchesse goûte assez, cette personne, dis-je, ayant recueilli un héritage considérable, est retournée à Naples vivre au sein de sa famille. Miladi Sunderland a voulu absolument que je dirigeasse encore le choix de celle qui la remplacera. J’ai songé à ma sœur, et je suis venu la chercher ; mais je l’ai trouvée prête à se marier, et décidée à se fixer à Nice.

Si je ramène un trésor tel que vous, mademoiselle, mon voyage aura réussi au-delà de mes espérances. Tout le temps qu’il avait parlé, Palmira, en réfléchissant à la bizar-