Pour les lettres imprimées, la première note, ayant pour objet la détermination, renverra toujours à l’ouvrage où la lettre a paru pour la première fois. Néanmoins, quand il s’agira du recueil de Bosc (1795), qui n’est plus dans le commerce, nous renverrons également au recueil de Dauban (1867) plus accessible au lecteur.
Pour les lettres semi-inédites la mention de la source imprimée sera suivie, quand il y aura lieu, de l’indication de la source manuscrite.
Quant aux lettres complètement inédites tirées des Papiers Roland de la Bibliothèque nationale. nous donnons les numéros des manuscrits et des folios.
Il nous a paru oiseux de réimprimer tout au long les adresses des lettres, même quand l’autographe les donne, si elles ne sont que la reproduction des adresses précédentes. Ainsi, quand on lira : « À Roland, à Amiens », sans aucun signe indiquant que cette adresse a été restituée par nous, cela voudra dire que cette adresse existe sur l’autographe avec le libellé des adresses précédentes : « À Monsieur Roland de la Platière, inspecteur général des manufactures de Picardie, à Amiens… »