riences ad hoc sur l’emploi, dans le blanchiment, de l’acide marin déphlogistiqué ; il n’y a eu que des expériences de particuliers dont il a dit tout ce qu’il savait dans son œuvre encyclopédie.
Je croyais bien vous avoir donné le nom du pauvre diable pour qui est la lettre que je vous fais repasser avec prière de lui donner cours.
Adieu ; nous vous embrassons cordialement. Que ne venez-vous en députation pour notre fédération patriotique !
J’ai[1] reçu le Discours préliminaire avec les notes ; je n’ai encore pu qu’y jeter un coup d’œil rapide : tout me sera utile soir pour corriger et réformer, soit pour confirmer et amplifier ; en vérité, j’ai beaucoup de choses à y joindre ; mais le temps ?… un notable… je vous ferai repasser le tout, quand…
Toujours point de nouvelles des plantes et insectes. Salut et amitié.
J’ai reçu le billet ; je ne l’ai point encore placé. Je voulais répondre longuement à votre bonne lettre, je ne le puis.
Vous êtes assez content de la tournure des affaires ; nous le sommes fort peu, et du fameux décret de la guerre et de la paix[3] qui est purement illusoire et tout royaliste, et des belles paroles du ministre, et des vingt millions versés le lendemain au Trésor royal, et de mille décisions du Comité de constitution qui paraît vendu au ministre et devient plus effrayant que son premier commis, et de cent choses qui vont de travers.
- ↑ Ce qui suit est de Roland. Il s’agit évidemment du Discours préliminaire qu’on trouve en tête du tome III du Dictionnaire des manufacturesn que Roland préparait alors. Il avait dû envoyer son manuscrit à Bosc, pour lui demander ses observations.
- ↑ Collection Alfred Morrison. — Dans un coin, à gauche, il y a : « D’At » [d’Antic].
- ↑ Le décret du 22-27 mai 1790, établissant que la guerre ne pourrait être décidée que par l’Assemblée, sur la proposition du Roi.