Il le nota sur une feuille de 1800-1803, en accentuant d’un sforzando la première note t > i» Ici, nous prenons sur le fait le génie de Beethoven, dans son mystérieux travail d’incubation. La phrase dort dans ses cahiers, et sans doute aussi au fond de sa pensée. Quand elle se réveille, à la minute où il attend une réponse de la Nature à la question du « Promeneur solitaire », elle a perdu son sens primitif ; nous pouvons être à peu près certains que Beethoven en a oublié les paroles et la provenance ; et l’accent qu’il a imprimé à la première note suscite en lui maintenant, non plus l’élan, le coup de talon de la danse bouffonne, — mais le point d’orgue, la pédale du sol, qui va déclencher la merveilleuse rêverie. Il écrit coup sur coup dans ses Esquisses ! » ^ 1 .3 -« ’ A “T*" J [ L£ i s > I -..TT ? —i
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