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Page:Rolland - Beethoven, 1.djvu/229

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BEETHOVEN

Fuis, la bourrasque souffle, et la force toute-puissante, en colonnes massives, reprend fortissimo, par trois montées écrasantes. Le moi-faiblesse s’agite avec angoisse, supplie éperdument ; on croit voir les mains crispées et les contractions du cœur : w -“V &■ Jù- p. î’ * F L ‘V b o_ • P 9 ^ n i wi ! n TT i L. L. > - ’ i«~* 1 .. [y )) , 1 ^ -i. y. i i ■ ■ i/ ^ • TTi v - 11 n’y a point de lutte, point de révolte ; l’âme qui souffre sait l’inutilité de la résistance, elle s’affaisse. Alors, se lève le motif consolant en majeur, la parole virile, qui stoïquement accepte et qui veut espérer, malgré tout. Le rythme qu’elle emploie est le meme que celui du motif de force brutale ; mais le motif est humanisé, attendri, par des inflexions affectueuses. Au lieu de : c’est : r ^—î  !— ’■ TnTT’ I :*—1 r i 1 A " 8 | J ,* ^ « ! i ■A L^s-fasz : 4 - 1