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Page:Rolland - Beethoven, 1.djvu/324

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LA SURDITÉ DE BEETHOVEN

Dans son Testament tragique d’octobre 1802, Beethoven priait son médecin, le professeur Schmidt, de « décrire sa matadie, aussitôt après sa mort », et d’ajouter à « l’histoire de son mal » les douloureux aveux qu’il écrivait lui-même, — « afin qu autant que possible, le monde se réconciliât avec lui, au moins 1après sa mort[1]. »

1. « Ihr meine Brüder… sobald ich tôt bin, v.nd Professor Schmidt lebt noch, so biilel ihn meinem Namen, dass er meine Krankheit beschreibc, und dieses hier geschriebene Blatl fügct lhr dieser meiner Krankengeschichle bei, damit wenigstens sr> viel als môgiich die Welt nac meinem Tode mit mir versôhnt werde. •

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