Aller au contenu

Page:Rolland - Beethoven, 3.djvu/288

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée
278
BEETHOVEN

d’un « Adagio en fa dièze mineur », faisant suite au « Menuet » [1], — « ou bien » d’un « Fugato en fa dièze majeur », qu’il dessine…[2] Mais ces grandes visions prémonitoires s’effacent aussitôt derrière les nuées, et l’esprit de Beethoven, qui s’abuse, revient à son idée de menuet, et, pour finir, de « rondo moderato », « avec une fugue comme

  1. [partition à transcrire]
  2. [partition à transcrire]