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Page:Rolland - Beethoven, 3.djvu/455

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LE CHANT DE LA RÉSURRECTION

Mais déjà, la victoire ne dépend plus de lui. Le « Dona nabis » se dessine, sous sa forme définitive : rf—r .. r-^T- . Æ o * ~- r TfeT ï s-r £ m ?

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- L’i X t ■l—]——- —ro-X-t . i. Lm —i t .’“..y :. At ’4A,r 1 1 ——J---shr-sP ^i-L.A -i—™—"4~ —{ -r r L. * - v . Le beau chant d’abandon n’a plus la ligne ascendante des premiers dessins, la fière démarche de leur foi, sûre de vaincre. Il a tendance à retomber, à se livrer : 4=$=K ~i écrrdv85icê-ifïa-i^5 LU

  • 1 1 *

Ttt ; ■ ~^ T* s $ L-X—»—£s^r-S+mr7 IaA. - <■€ w* Et l’on ne sait trop si ce « Bitte, Bitte... » se rapporte à l’interprétation de la phrase, ou ne désigne pas sa pensée et le caractère de suppliant, que revêt maintenant cette prière pour la paix... Interminablement, la guerre gronde dans l’imagination de Beethoven. Il s’acharne à compter, recompter les batte" ments des timbales 1 : 1. Nottebohm remarque qu’à force de récrire et de raturer cos passages, Beethoven a fait un trou dans le papier très épais.