étude de August Halm : Beethoven, 1927, Max Hesses Verlag, Berlin, et le très beau livre de Walther Riezler : Beethoven, 1936, Atlantis Verlag, Berlin-Zürich.
Sur des sujets plus restreints, sont des modèles de critique musicale les travaux de :
Paul Mies : Die Bedeutung der Skizzen Beethovens zur Erkenntnis seines Stiles, 1925, Leipzig, Breitkopf.
Hans Bœttcher : Beethoven als Liederkomponist, 1928, Augsburg, Dr Benno Filser Verlag.
V. — Parmi les musicologues français, ou de langue française, je me contenterai de citer ici le Cours de Composition Musicale de Vincent d’Indy, rédigé avec la collaboration de Auguste Sérieyx, d’après des notes prises aux classes de composition de la Schola Cantorum, en 1899-1900, Paris, Durand et Fils, 1909 ; — les minutieuses recherches bibliographiques et historiques de J.-G. Prod’homme : La Jeunesse de Beethoven, 1921, Paris, Payot, et Les sonates pour piano de Beethoven, 1937, Delagrave. (Je n’ai eu connaissance de ce dernier volume que quand le mien était achevé.)
Le petit livre de Emmanuel Buenzod : Pouvoirs de Beethoven, 1936, Paris, éd. Corréa, est un modèle de fine intuition et de goût.
VI. — Atlantis-Verlag a étudié un recueil d’admirables reproductions photogravées d’autographes de Beethoven, dans le volume : Musiker Handschriften, 96 fac-similés, précédés d’une remarquable étude par Georg Schunemann, 1937. On y trouvera les fac-similés de feuilles d’esquisses de Beethoven, pour les grandes œuvres que j’analyse ici. Plusieurs étaient, jusqu’à ce jour, inconnues.
