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Page:Rolland - Beethoven, 5.djvu/151

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LES DERNIERS QUATUORS

vant que ses tâtonnements. On y découvre, sans aucun voile, les bondissements du cœur, les halètements de joie, les pulsations désordonnées, les pleurs, le flux de paroles entrecoupées (p. 14) :

[partition à transcrire]