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LA NOUVELLE JOURNÉE

fait l’objet de leurs entretiens, de leur art, de l’avenir de leurs idées.

Jusqu’au jour où, de sa main qui défaillait, Christophe écrivit le mot du roi de Suède, mourant, dans la bataille :


« Ich habe genug, Bruder ; rette dich » ![1].

  1. « J’ai mon compte, frère, sauve-toi ! »