Page:Rolland - Jean-Christophe, tome 2.djvu/137

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le matin

pourtant de ne pas la voir ; et, rebroussant chemin, il sortit précipitamment par la porte de service du théâtre. Ensuite, il se le reprocha ; car il se rendait bien compte que madame de Kerich ne lui voulait aucun mal. Mais il savait que si c’était à recommencer, il recommencerait. Il avait la frayeur de la rencontrer dans la rue. Quand il apercevait au loin une forme qui lui ressemblait, il prenait un autre chemin.