Page:Rolland - Jean-Christophe, tome 4.djvu/255

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la révolte

Alors, le silence retomba de nouveau dans la chambre où la nuit s’étendait. De nouveau, le carillon égrena dans la paix du soir ses sonneries placides et grotesques. Un peu honteux de sa colère, le vieux Schulz, immobile, étendu sur le dos, attendait, haletant, que le tumulte de son cœur s’apaisât : il serrait sur sa poitrine les précieux Lieder, et il riait comme un enfant.