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JEAN-CHRISTOPHE À PARIS

où il ne connaissait personne de vivant, mais qui était peuplée pour lui de tant d’ombres familières : le petit Christophe, ceux qu’il avait aimés, ceux qui l’avaient fait souffrir ; — et la chère Antoinette… Que restait-il de tous ces êtres, qui avaient vécu ici, de cette famille des Krafft, à présent effacée ? L’amour qui vivait d’eux dans l’âme d’un étranger.