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Page:Rolland - Jean-Christophe, tome 8.djvu/144

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LA FIN DU VOYAGE

l’attristaient. Et puis, leur existence calme, médiocre, leur air trop raréfié, ne lui convenaient pas, pour l’instant. Il avait besoin de voir des figures nouvelles ; il lui fallait se ressaisir à un intérêt, à un amour nouveau.