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Page:Rolland - Jean-Christophe, tome 8.djvu/310

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LA FIN DU VOYAGE

goût, de tendresse, de jalousie, de pitié passionnée. Elle l’accompagna jusqu’à l’entrée du petit salon. À la porte, il se retourna, s’inclina vers ses mains, et les baisa longuement. Elle ne bougeait point, les yeux à demi fermés. Enfin, il se releva, et, sans la regarder, il sortit rapidement.