Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
testament d’heiligenstadt[1]
pour mes frères carl et (johann)[2] beethoven
Ô vous, hommes, qui me regardez ou me faites passer pour haineux, fou, ou misanthrope, combien vous êtes injustes pour moi ! Vous ne savez pas la raison secrète de ce qui vous paraît ainsi ! Mon cœur et mon esprit étaient enclins, depuis l’enfance, au doux