Page:Rollinat - Dans les brandes (Charpentier, 1883).djvu/117

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La nuit a tout noyé, mer ensorcelante,
Berçant le rêve au bord de ses entonnoirs,
La lune, sur l’œil fou des grands désespoirs,
Ne laisse pas filtrer sa lueur parlante.
Ô nuit lente !
Ô cieux noirs !