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Page:Rollinat - Dans les brandes (Charpentier, 1883).djvu/148

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XXXIV

LA SIESTE


En regardant sauter les geais
Sur les hautes branches d’un chêne,
Délivré du spleen qui m’enchaîne,
Béatement je m’allongeais.

Oh ! comme alors je me plongeais
Dans la quiétude sereine,
En regardant sauter les geais
Sur les hautes branches d’un chêne !