Page:Rollinat - Dans les brandes (Charpentier, 1883).djvu/204

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Ô filles, ô cafardes,
Je hais
Vos faces à jamais
Blafardes.
Ève, en vain tu te fardes,
Pour femmes, désormais,
J’ai mes
Bouffardes.

Embaumez donc mes jours,
Charmeuses,
Ô pipes, mes brumeuses
Amours !
Et dans tous mes séjours,
Restez, mes endormeuses,
Fumeuses
Toujours.