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Page:Rollinat - Dans les brandes (Charpentier, 1883).djvu/268

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Et, marchant au lointain roulement d’un convoi,
J’abandonne mon âme à son rêve morbide
Quand je plonge à mi-corps dans un bourbier liquide ;
Et plus j’enfonce, plus il raille mon effroi,
Le petit feu follet qui danse devant moi !