Page:Rollinat - Dans les brandes (Charpentier, 1883).djvu/96

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Et je souffre, hélas !
Jusqu’à la fibre :
Et mon pas
N’est pas
Libre.
Plus une aile qui vibre
Dans l’air où j’entends un glas !

D’êtres nul vestige.
Dans mon linceul
De vertige
Lourd, suis-je
Seul ?
Plus courbé qu’un aïeul,
Je marche. — L’étang se fige.