Page:Rollinat - L’Abîme, 1886.djvu/102

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Quand l’âge l’a rendue aïeule,
Plus rien d’elle ne transparaît.
Le sphinx a-t-il usé la meule
De son doute et de son regret ?
Livre-t-il déjà son secret
À la nuit qui nous enlinceule ?…
L’Âme s’épanche en elle seule.