Page:Rollinat - L’Abîme, 1886.djvu/113

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Mais sa rage, à la fin, languit dans le marasme,
Car elle sent venir la torture et la mort
À travers le vertige affreux de son remord
Qui demeure infini dans le néant du spasme.

Cependant que, rebelle à toute pureté,
La chair souille l’enfant de son murmure infâme,
Et dans les yeux navrés de l’homme et de la femme
Allume son enfer à perpétuité.