Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
Car c’est le vice qui nous hâle,
Nous ne le savons que trop bien :
De là l’angoisse qui nous tient.
Nous sentons plus près notre râle
Quand on nous dit : « Vous êtes pâle. »
Car c’est le vice qui nous hâle,
Nous ne le savons que trop bien :
De là l’angoisse qui nous tient.
Nous sentons plus près notre râle
Quand on nous dit : « Vous êtes pâle. »