Page:Rollinat - L’Abîme, 1886.djvu/250

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Dans ces coffres en bois frais
C’est tout l’homme qu’on emporte ?…
Quand je serai mort, après…

L’herbe ayant pompé l’engrais
Et les sucs de ma chair morte ?…
— Dame ! clapote un cyprès.

Mais au moins quelques regrets
Seront ma cendreuse escorte,
Quand je serai mort, après ?…
— Dame ! clapote un cyprès.