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Page:Rollinat - L’Abîme, 1886.djvu/280

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CHANSON D’ERMITE


Ainsi va le destin de l’homme :
Rongeur de son végètement,
Il s’y tortille obscurément,
Non moins que le ver dans la pomme.

Philosophe ou bête de somme,
Il additionne ardemment
Du vouloir et du sentiment
Dont les ténèbres sont la somme.