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Page:Rollinat - Les Apparitions, 1896.djvu/194

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LES FLEURS DES CHAMPS

La terre aspire l’influence
Du fécondant soleil béni,
Sous le pinceau de l’infini
Qui la décore et la nuance.

La Nature, avec tous ses charmes,
Offre modestes au regard
Ces fleurs qu’elle sème au hasard
Et qu’elle arrose de ses larmes.