Page:Rollinat - Les Névroses (Fasquelle 1917).djvu/10

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Enfin, l’homme se décompose,
S’émiette et se consume tout ;
Le vent déterre cette chose
Et l’éparpille on ne sait où.
Et le dérisoire fantôme,
L’oubli, vient, s’accroupit et dort
Sur cette mémoire d’atome,
Après la Mort !