Page:Rollinat - Les Névroses (Fasquelle 1917).djvu/107

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Oh ! comme nous râlons ces magiques syllabes,
Dans la chère seconde où, pour mieux s’enlacer,
Nos jambes et nos bras sont des pinces de crabes.

Ma convoitise enfin peut donc se harasser !
Pas un coin de ton corps où mes lèvres ne paissent
Tu me bois, je t’aspire ! et, pour me délasser,

J’admire tes beaux seins qui s’enflent et s’abaissent.