Page:Rollinat - Paysages et paysans.djvu/74

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Toujours plus la Nature, en son large abandon,
Lui prêche le respect du mort et le pardon.
À la miséricorde enfin son âme s’ouvre,

Et, lorsque le cercueil passe en face de lui,
Il montre en son œil terne une larme qui luit,
Et, coudant le genou, s’incline et se découvre.