Page:Ronsard - Tableau chronologique des œuvres, Laumonier, 1911.djvu/25

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Comme un Chevreuil, quand le printemps détruit (I, 35 ; I, 29).
Ny voir flamber au point du jour les roses (I, 35 ; I, 29).
Dedans des Prez je vis une Dryade (I, 36 ; I, 30).[1]
Quand ces beaulx yeux jugeront que je meure (I, 37 ; I, 30).
Qui vouldra voyr dedans une jeunesse (I, 37 ; I, 31).
Tant de couleurs le grand arc ne varie (I, 38 ; I, 31).
Quand j’apercoy ton beau chef jaunissant (I, 38 ; I, 32).
L’œil qui rendroit le plus barbare apris (I, 40 ; I, 33).
Ciel, air et vents, plains et monts decouvers (I, 39 ; I, 32).
De quelle plante ou de quelle racine (I, 41 ; I, 34).
Pour voyr ensemble et les champs et le bort (I, 47 ; I, 38).
Pardonne moy, Platon, si je ne cuide (I, 47 ; I, 39).
D’un foyble vol je voile après l’espoir (M.-L. VI, 357).
Les Elementz et les Astres, à preuve (I, 43 ; I, 36).
Je parangonne à vos yeulx ce crystal (I, 44 ; I, 36).
Que n’ay-je, Dame, et la plume et la grace (I, 42 ; I, 35).[2]
Du tout changé, ma Circe enchanteresse (I, 43 ; I, 35).[3]
Ja desja Mars ma trompe avoit choisie (I, 42 ; I, 34).
Petit nombril que mon penser adore (I, 391 ; I, 354).
L’onde et le feu ce sont de la machine (I, 49 ; I, 41).
Si seulement l’image de la chose (I, 52 ; I, 43).
Soubz le cristal d’une argenteuse rive (I, 52 ; I, 44).
Si l’escrivain de la mutine armée (I, 50 ; I, 41).
L’astre ascendant sous qui je pris naissance (I, 78 ; I, 67).
Pour celebrer des astres dévestus (I, 50 ; I, 42).
Estre indigent et donner tout le sien (I, 51 ; I, 42).
Œil qui portrait dedans les miens reposes (I, 51 ; I, 43).[4]
Soit que son or se crespe lentement (I, 53 ; I, 44).
Picqué du nom qui me glace en ardeur (I, 60 ; I, 50).[5]
De ses cheveulx la rousoyante Aurore (I, 54 ; I, 45).
Apres ton cours je ne haste mes pas (I, 59 ; I, 49).
Depuis le jour que le trait ocieux (I, 61 ; I, 51).
Le mal est grand, le remede est si bref (I, 61 ; I, 51).
Amour, si plus ma fiebvre se renforce (I, 62 ; I, 52).
Franc de travail une heure je n’ay peu (I, 66 ; I, 55).[6]
Si doulcement le souvenir me tente (I, 62 ; I, 52).
D’Amour ministre et de perseverance (I, 66 ; I, 56).

  1. Var. des éd. Bl. et M.-L. : Dedans un pré je vis une Naïade
  2. Var. de l’éd. M.-L. : Amour, que n’ai-je en escrivant la grace
  3. Var. de l’éd. M.-L. : Pipé d’amour, ma Circe enchanteresse
  4. Var. de l’éd. M.-L. : Œil, qui des miens à ton vouloir disposes
  5. Var. de l’éd. M.-L. : Ravi du nom…
  6. Var. de l’éd. M.-L. : Sans souspirer vivre icy je n’ay peu