La terre les eaux va boivant (II, 286 ; II, 361).
Si tu me peux conter les fleurs (II, 439 ; VI, 93).
Plusieurs de leurs cors (sic) dénués (II, 287 ; II, 361).
Pourquoi corne une jeune Poutre (II, 288 ; II, 362).
Ah ! [si] l’or pouvoit alonger (II, 288 ; II, 363).
Pipé des ruses d’Amour (II, 475 ; VI, 126).
la dédicace générale au roi Henri II :
Apres avoir ton tems sué sous le harnois (II, 19 ; II, 73).
une ode à Martial de Lomenie, placée à la fin du 2e livre :
Quand l’homme ingrat feroit tous les jours sacrifice (IV, 301 ; II, 229).
sept odes au roi, à la reine, à leurs enfants et à Diane de de Poitiers, placées en tête du 3e livre :
Comme on voit la navire atendre bien souvent (II, 172 ; II, 231).
Mere des Dieus ancienne (II, 177 ; II, 236).
Que pourroi-je, moi François (II, 181 ; II, 240).
Prince, tu portes le nom (II, 190 ; II, 250).
Tant seulement pour ceste fois (II, 197 ; II, 257).
Ma nourrice Calliope (II, 203 ; II, 263).
Quand je voudrois célébrer ton renom (II, 481 ; VI, 366).
et douze pièces disséminées dans le 4e livre :
Ecoute grand Roy des François (II, 240 ; II, 307).
Tu dois bien à ce coup, chetive Tragedie (VII, 240 ; V, 309).
Mais que me vaut d’entretenir (II, 258 ; II, 325).
Quand je suis vint ou trente mois (II, 259 ; II, 326).
Rose tant seulement ici (VII, 275 ; VI, 367).
La volupté, la gourmandise (VII, 259 ; V, 328).
Ma douce Jouvance est passée (II, 268 ; II, 338).
- ↑ Paris, Ve Maurice de la Porte, pt in-8o de 4 ff. prélimin. et 132 ff. L’achevé d’imprimer est du 23 janvier 1555 (n. st.). Le privilège date, comme pour le Bocage et les Meslanges, du 4 janvier 1553 (1554, n. st.). Ronsard avait fait transport dudit privilège à la Ve M. de la Porte pour les Quatre premiers livres des Odes, et son Bocage « jusques au terme de six ans finis et accomplis, à commencer du jour que ledict Bocage et Odes seront achevés d’imprimer ». — B N., Rés. p Ye 126.