L’Huillier, à qui Phoebus, comme au seul de nostre age (I, 182 ; I, 414).[1]
C’estoit en la saison que l’amoureuse Flore (ibid ; I, 161).
L’an se rajeunissoit en sa verde jouvence (I, 403 ; VI, 14).
Sinope, de mon cœur vous emportez la clef (I, 193 ; I, 171).[2]
Avant vostre partir je vous fais un présent (I, 403 ; VI, 14).
Ma Sinope, mon cœur, ma vie et ma lumiere (I, 404 ; VI, 14).
D’un sang froid, noir, et lent, je sens glacer mon cœur (ibid ; VI, 15).
Quand je suis tout baissé sur vostre belle face (I, 194 ; I, 171).[3]
Je reçoy plus de bien à regarder vos yeus (ibid ; I, 172).[4]
Si j’estois Jupiter, Sinope, vous seriez (ibid ; I, 172).
Sinope, que je sers en trop cruel destin (I, 195 ; I, 173).
Sinope, baisez-moi : non, ne me baisez pas (ibid ; I, 173).[5]
Comme d’un ennemi je veux en toute place (I, 196 ; I, 174).
Astres qui dans le ciel rouëz vostre voiage (I, 197 ; I, 174).
Vos yeus estoient blessez d’une humeur enflammée (ibid ; I, 175).[6]
C’est trop aimé, pauvre Ronsard, delaisse (I, 405 ; VI, 15).
A Phœbus, mon Grevin, tu es du tout semblable (I, 208 ; I, 184).[7]
Marie à celle fin que le siecle advenir (I, 228 ; I, 203).[8]
Au deuxième volume (les Odes, en cinq livres) :
Si j’ayme depuis naguere (II, 166 ; II, 221).
Ni la fleur qui porte le nom (II, 167 ; II, 223).
Donc, Belleau, tu portes envie (II, 425 ; II, 299).[9]
Gaspard, qui loin de Pégase (II, 233 ; II, 300).[10]
Hardi celuy qui le premier (II, 361 ; II, 443).
- ↑ Cette courte pièce n’était que la dédicace de la pièce suivante, qui est le Voyage de Tours ou les Amoureux.
- ↑ Var. de l’éd, M.-L. : Maistresse, de mon cœur…
- ↑ Var, de l’éd. M.-L. : Quand ravy je me pais de vostre belle face
- ↑ Var. de l’éd. M.-L. : Je recoy plus de joie…
- ↑ Dans ces trois derniers sonnets le nom de Sinope est remplacé par celui de Marie à partir de 1578.
- ↑ Var. de l’éd. M.-L. : Vos yeux estoient moiteux…
- ↑ Ibid. : A Phœbus, Patoillet…
Ce sonnet parut d’abord en tête de l’Olympe de J. Grevin, publié chez Robert Estienne en 1560. - ↑ Var. de l’éd. M.-L. : Ma seconde ame, à fin que le siècle advenir
- ↑ Ibid. : Tu as donques quitté Thalie
Marty-Laveaux, trompé par la différence des premiers vers, a cru que l’ode Donc, Belleau, tu portes envie avait été retranchée par Ronsard (VI, 84) ; ce n’est qu’une variante de la même pièce.
- ↑ Var. de l’éd. M.-L. : Gaspar, qui du mont Pegase