Page:Ronsard - Tableau chronologique des œuvres, Laumonier, 1911.djvu/59

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Apres avoir pour l’Amour combatu (IV, 123 ; III, 458).
Si jamais l’homme en aymant fut heureux (I, 415 ; I, 40).[1]
Ayant l’œil triste et pesant le sourcy (IV, 125 ; III, 460).
Las ! sans espoir je languis à grand tort (I, 415 ; VI, 25).
Ce diamant, maitresse, je vous donne (IV, 186 ; VI, 171).
Six Chevaliers aux armes valleureux (IV, 187 ; VI, 172).
Quand le loysir me seroit presenté (IV, 189 ; VI, 174).
Si le renom des Chevaliers François (IV, 127 ; III, 462).
Si la pitié peut emouvoir les Dames (IV, 192 ; VI, 176).[2]
Icy la Comédie apparoist un exemple (IV, 184 ; V, 236).
Demeure, Chevalier, et en la mesme place (IV, 129 ; III, 463).
L’an et le mois, le jour et le moment (IV, 193 ; VI, 177).
Je suis Amour, le grand maistre des Dieux (IV, 131 ; III, 465).
Pour mon trophée en ce char trionfant (IV, 132 ; III, 467).
Je t’ay donné, Charles, Roy des François (IV, 134 ; III, 468).[3]
Ce n’est pas toy, Terre, qui ce grand Roy (IV, 135 ; III, 469).[4]
Apaisez vous, ne joüez plus des mains (IV, 136 ; III, 471).
Soleil, la vie et la force du monde (IV, 137 ; 111, 471 ;.
De l’immortel les Roys sont les enfans (IV, 141 ; III, 475).
O Prince heureusement bien né (IV, 144 ; III, 478).
Apres l’ardeur de la guerre cruelle (V, 305 ; VI, 258).
Qui a point veu aux tristes jours d’hyver.[5]
Prince bien né quand le ciel t’anima (V, 324 ; II, 9).[6]
Pour celebrer l’honneur de vostre race (V, 325 ; II, 9).
Je demandois à l’Oracle des Dieux (V, 323 ; II, 10).
Docte Prelat, qui portes sur la face (V, 328 ; II, 14).
Comme une Nymphe est l’honneur d’une prée (V, 331 ; II, 14).
Du fort Jason Chiron fut gouverneur (V, 345 ; II, 13).
Magnanime Seigneur je suis d’une nature (V, 324 ; VI, 36).[7]

  1. Bl. a commis une double erreur en reproduisant ce sonnet à la p. 419 de son tome I : en effet, il l’avait déjà présenté à la p. 415, et de plus il ne devait pas le compter parmi les sonnets « pour Helene de Surgeres imprimez pour la première fois en 1609 » (cette seconde erreur provient de l’édition collective de 1609. C’est un « cartel », écrit sur commande pour les fêtes de la Cour, et placé par Ronsard dans son Second livre des Amours en 1567 et dans son Premier livre des Amours en 1578.
  2. Var. des éd. Bl. et M.-L. : Si les guerriers s’esmeuvent pour les Dames
  3. Ainsi que les trois sizains qui suivent celui-là.
  4. Ainsi que les trois sizains qui suivent celui-là.
  5. Réédité par moi dans la Rev. d’Hist. litt. de juillet 1902, p. 444. Voir ci-après l’Appendice.
  6. Var. des éd. Bl. et M.-L. : Prince Royal, quand le ciel t’anima
  7. Var. de l’éd. M.-L. : Prince du sang Royal, je suis d’une nature. — Blanchemain, trompé par cette variante, qui date de 1578, a cru qu’il y avait à un sonnet différent du premier ; de sorte qu’on le trouve deux fois dans son édition : à la p. 426 du tome I avec la date de 1578, et à la p. 324-325 du
    tome V, avec la date de 1567.