Aller au contenu

Page:Rosenthal - Mickey au Camp de Gurs, 1942.djvu/2

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée


C’était un jour de l’an II de la révolution nationale…

Je me promenais tranquillement, quelques part en France

Mon cœur était tout joyeux, car mon boulanger m’avait donné 1002 gr. de pain pour 1006 gr. de tickets.

Ah, c’est le bonne vie !

Mais tout à coup…