rait dangereusement et menacerait nos existences.
— Y manque pas de caves, heureusement ! fit le père Castelin.
— Les hommes se dissimuleront derrière les barrières, les murailles et les retranchements, poursuivit Langre. Où sont les bons tireurs ?
Jacques Franières et trois autres hommes s’avancèrent. D’autre part, le jardinier avait braconné ; Meyral s’était passionnément exercé au tir pendant son adolescence.
— Il faudrait un détachement dans la champignonnière, dit Georges.
Les rustres s’entre-regardèrent indécis. Tous désiraient rester auprès des « sorciers ».
— Il le faut ! reprit le jeune homme.
Jacques se décida :
— Ce sera nous, dit-il. Qu’est-ce qu’y faudra faire ?
— Vous dissimuler d’abord avec soin — et ne pas bouger… Vous connaissez l’endroit ;