Page:Rosny - Les Xipéhuz, 1888.djvu/63

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monde aurait senti craquer toutes ses limites devant l’invasion xipéhuze. Et pourtant, quand elle revint, la superbe, l’aimée, la pensive, la nuit, il tomba une ombre sur ma béatitude, le chagrin que l’homme et le Xipéhuz ne pussent pas coexister, que la vie de l’un dût être la farouche condition de l’anéantissement de l’autre.