Page:Rosny aîné – Daniel Valgraive, 1891.djvu/15

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aimée, la transmission de ses pouvoirs comme de ses tendresses, le choix d’êtres familiers tels que Hugues, Charles, les Sigismond, George, cela lui apparaîtra le maximum réalisable.

On nous pardonnera d’avoir, en ce roman, insisté longuement sur les débats de cette conscience. Daniel eût sans cela été simpliste et invraisemblable. Tel qu’il est, nous lui connaissons des frères en charité. À cette heure même, nous nous préoccupons d’un monde où les Daniel Valgraive ne sont pas rares : un monde de bonté humaine qui nous attire très impérieusement. Nous voulons prochainement dire, dans une œuvre