Page:Rosny aîné – Daniel Valgraive, 1891.djvu/171

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II


Et la lutte, effectivement, recommença chaque jour, tout un mois, avec des péripéties tellement identiques, un si terrible, monotone cycle d’états d’âmes flottant de la jalousie à la bonté ! Selon le temps, selon les circonstances, le décor variait, l’entour des tristesses se revêtait d’autres corollaires, d’autres réflexions de second rang, mais le noyau