Page:Rosny aîné – Daniel Valgraive, 1891.djvu/61

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il ne pouvait la donner ; il rêvait l’emporter avec lui dans les royaumes du Sépulcre ! Pourtant, il était sans haine contre Hugues, il répétait confusément son vœu d’altruisme, il le répétait comme un croyant l’Acte de foi, et les paroles tout à la fois allaient incomprises, et se fixaient pour augmenter la force de la Bonté, plus tard.

— Que je suis faible et lâche, ô mon Dieu !

Et ce soir-là, son âme ne put se résoudre au sacrifice.