Page:Rosny aîné – La Tentatrice, 1897.djvu/106

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Mary rougit. M. Ditchfield me regardait avec douceur. Je sentis vraiment que, hormis la seule chose qui dévorait ma vie, il aurait tout fait pour me rendre la tranquillité. Je répondis à voix basse :

— Je connais votre générosité, mon cher maître, et je n’aurais pas hésité à y avoir recours, si ma peine n’était de celles que nous devons supporter avec résignation, jusqu’à ce que le temps les ait guéries.


21 juin.

Ce matin j’étais assis auprès de ma fenêtre, à vérifier un