Page:Rosny aîné – La Tentatrice, 1897.djvu/34

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Malgré ce travers, M. Ditchfield était le maître le plus parfait que pût désirer un jeune homme de mon caractère. Il me demandait peu de travail, m’encourageait à occuper mes loisirs selon mes propres goûts, se confiait absolument à moi dans toutes les circonstances. Sa conversation était agréable et instructive, sa compagnie charmante.

Sans s’efforcer de me convertir, il m’entretenait beaucoup de ses idées sur le « quatrième état de la matière » et sur les esprits. Ces idées, souvent ingénieuses, me reposaient des miennes qui sont positives, mais non