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10 AMOUR ÉTRUSQUE



érudition s’en apercevra bien. Mais à ce lecteur-là, il est facile de plaire. C’est l’autre que j’aimerais atteindre, — celui qui sait des Etrusques ce qu’il en apprit va- guement dans l’histoire romaine. Je lui adresse ce petit avertissement, afin qu’il se défie, pour la critique, des souvenirs de lycée : il devra avoir soin de se persuader qu’il ne sait rien des Etrusques. À la vérité, nul n’en sait davantage, mais, tout de même, pour bien goûter ce récit, qu’il fasse une distinction entre sa « pure » ignorance et l’ignorance pervertie de ceux qui ont longtemps pratiqué la matière.

ENACRYOS.