dansaient sur les murailles rugueuses. On entendait, par intermittences, une goutte d’eau qui s’écrasait sur le sol.
— Quand même i se mettraient dans la tête de nous avoir, dit encore Catherine, faudrait au moins une bonne heure. On a donc le temps. Je dis ça parce que, des fois, y aurait peut-être moyen de sortir d’ici. Ya une issue. Je le sais… Elle a servi pendant la Révolution et même quand on se battait pour la religion… Monsieur s’en est jamais occupé, mais moi, quand j’étais petiote, y avait des gars qui prétendaient y avoir passé… Voulez-vous qu’on cherche ?… C’est quèque part au fond ?
Denise écoutait la veille femme sans trop d’étonnement. Elle aussi avait jadis entendu parler de l’issue. Elle n’y avait pas attaché d’importance, parce qu’elle n’allait pas dans les caves.
— Je veux bien, répondit-elle.
Catherine alluma une seconde bougie et