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frir chaque jour aux hommes, et qu’ils se refusent le plus souvent, parce que les joies illicites leur ferment le chemin.
Pourquoi faut-il, avec cette garantie de bonheur, qu’il m’arrive justement une épreuve où ma propre volonté n’a été pour rien, pourquoi faut-il que je souffre d’une volonté étrangère, à laquelle je ne puis céder sans recourir au mensonge et à l’hypocrisie ou à l’ingratitude ? Encore me serait-il facile d’échapper en me sacrifiant, — mais je ne puis le faire qu’en rendant malheureuse celle qui me domine, en chagrinant mon bienfaiteur et en ôtant la sécurité à ma pauvre mère.