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touché, — puis se retirait. Nous travaillâmes une partie de la matinée, mon maître et moi, d’autant que la réalisation de son fameux miroir soulevait de petits problèmes qui m’intéressaient véritablement.

Vers onze heures seulement je pris du repos. C’était le moment de ma promenade quotidienne dans notre square, qui est le plus vaste de Londres, et dont l’usage appartient exclusivement aux habitants des demeures avoisinantes. Je pris ma clef et fus bientôt sur les sentes.

Par ce charmant matin de fin d’octobre, il n’y avait personne. Le square s’étendait solitaire et triste comme un vieux parc, avec ses grands arbres centenaires.