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Page:Rosny aîné - La Fille d’affaires, 1925.djvu/249

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246 LA FILLE D’AFFAIRES

Elle le vit trembler comme une homme frappé d’épouvante et, chancelant, ébloui, il saisit la main de Denise.

Elle le sentit tellement heureux qu’elle en était heureuse elle-même. : -