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Page:Rosny aîné - La Jeune Aventureuse, 1928.djvu/156

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— Que faire ? murmura Marcelle.

Ces vacances, en lui donnant un surcroît d’énergie, ne seraient-elles pas utiles à l’entreprise ?

Après avoir relu le télégramme, elle se décida à en communiquer quelques passages à Mlle Carembot, qui affirma :

— Cette dame a raison… Vous vous êtes surmenée… À votre place, je n’hésiterais pas une minute.

— Mais le travail…

— Vous en emporterez.

— Soit, dit enfin Marcelle… Et, s’il y a quelque chose de pressé ?

— Il n’y aura rien de pressé.

— Cependant…

— Eh bien ! on verra…

À la sortie de l’atelier, Catherine et Germaine accompagnèrent Marcelle.

Catherine disait :

— Ne craignez rien, mademoiselle. Ger-